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Le manque d'emplois pour les jeunes du quartier est-il une fatalité ?
Privilégierez-vous le désenclavement du quartier ou la dynamique de proximité (vie de quartier/identité du quartier) ?
Quels changements structurels concernant les services municipaux pensez-vous mettre en œuvre (mairies annexes, services sociaux, nouveaux équipements…) ?
En quoi la marge de manœuvre des finances de la Ville peut-elle affecter les conditions de vie des habitants (logement, social, santé…) ?
Quel sera votre projet politique au niveau socioculturel et notamment la place des MJC et leurs moyens financiers et immobiliers ?
Pourquoi doit-on voter pour vous ?
Chaque candidat disposait de 5 minutes par question pour répondre.
À quelques jours d'un second tour qui s'annonce très serré et sans alliances, les réponses sont toujours d'actualité...
Retrouvez les vidéos du débat en huit parties en suivant les liens :
1ère partie : Introduction, présentation du déroulement du débat, réponse de Madame Thoraval à la première question (Le manque d'emplois pour les jeunes du quartier est-il une fatalité ?)
Débat 1ère partie
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2e partie : réponses de Monsieur Bertholet et Perret à la question 1 (Le manque d'emplois pour les jeunes du quartier est-il une fatalité ?)
Débat 2e partie
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3e partie: réponses de Monsieur Bertholet et Perret à la question 2 (Privilégierez-vous le désenclavement du quartier ou la dynamique de proximité (vie de quartier/identité du quartier) ?)
5e partie : réponses de Madame Thoraval et Bertholet à la question 4 (En quoi la marge de manœuvre des finances de la Ville peut-elle affecter les conditions de vie des habitants (logement, social, santé…) ?) 6e partie : Monsieur Perret répond à la question 4 (les finances de la ville...). Monsieur Bertholet puis Monsieur Perret répondent à la question 5 : Quel sera votre projet politique au niveau socioculturel et notamment la place des MJC et leurs moyens financiers et immobiliers ?
Débat 3e partie
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4e partie : Les trois candidats répondent à la question 3 : Quels changements structurels concernant les services municipaux pensez-vous mettre en œuvre ?
Débat 5e partie
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7e partie : Madame Thoraval répond à la question 5 puis Monsieur Perret et Madame Thoraval répondent à la question 6 : Pourquoi doit on voter pour vous?
Les pouvoirs publics consultent beaucoup. Nos élus locaux ne cessent de commander des études à des cabinets d'études pour mieux comprendre leurs territoires, les relations qui les lient et les séparents, mieux comprendre les flux que façonnent nos usages et leurs constantes évolutions. Si elles ne sont pas redondantes (mais comment nous pouvons-nous le savoir ?), elles peuvent souvent s'avérer utiles.
Mais les résultats de ces études, pourtant payés avec des deniers publics, avec nos impôts... eux, ne sont pas publics. Nos élus gardent par devers eux l'information qu'ils batissent ? Or, nous les payons avec notre argent ces études ! Elles nous concernent à plus d'un titre, car elles lisent nos pratiques, nos usages... Elles permettent à ceux qui y ont accès, bien souvent, de mieux comprendre le territoire, de mieux l'analyser, de mieux le lire. Etudes sur l'implantation des entreprises, sur l'implantation du commerce, sur les flux qui parcourent le territoire... Qu'importe le sujet. Ces études devraient être accessibles pleinement et librement. Elles devraient être disponibles en ligne, sur le site de leur mandataire, afin que tout un chacun puisse y accéder, que l'information qu'elles renferment ne puisse jamais être discrétionnaire. Les données publiques doivent être publiques !
Partant du constat que les données publiques sont encore loin d’être des biens communs mis à la disposition des citoyens, Michel Briand a initié la création d’un groupe de travail, au sein d’Intercoop, l’interconnexion de réseaux coopératifs, avec un espace de travail dédié pour réfléchir et faire avancer la question de l’ouverture des données publiques, afin qu’elles soient plus facilement accessibles et réutilisables par tous.
"Au moment où les usages des outils du web 2.0, blogs, wikis, fils RSS, réseaux sociaux interpellent les acteurs du web public sur leurs pratiques, peut-être pouvons-nous enclencher une dynamique d’ouverture des biens publics en biens communs sachant qu’il devra emprunter ce temps long nécessaire au changement culturel des personnes et des structures.
Ouvrir la diffusion et la possibilité de réutiliser les données et les biens publics informationnels est un changement de culture dans une société française cloisonnée et frileuse face au débat public et marquée par le fonctionnement hiérarchique.
Comme pour le logiciel libre, ce sont surtout les réseaux d’acteurs locaux, les associations, les personnes qui s’impliquent dans des développements ou la diffusion des outils, la pression des usagers qui font évoluer les pratiques.
N’est-il pas possible de développer aujourd’hui un mouvement analogue pour l’extension des biens publics mis en commun ?
- en menant des actions d’information : parce que beaucoup de personnes ne savent pas que des contrats ouverts permettent, selon le choix effectué, de conserver la forme du texte publié ou de le modifier, d’autoriser ou non un usage commercial ;
- en interpelant les collectivités et les services de missions publiques sur le statut des données qu’ils publient ;
- en favorisant la diffusion des bonnes pratiques, en mettant en valeur les avantages apportés par les mises en biens communs ; par une compréhension des freins et facteurs facilitant cet élargissement par les acteurs des services publics ;
- en rédigeant un appel manifeste porté par des associations et personnes ;
- en menant des actions de sensibilisation auprès des associations de professionnels, d’élus pour qu’ils ouvrent le débat à de nouveaux acteurs et favorisent la diffusion des réflexions autour de cette problématique ;
- en alimentant la réflexion sur cette question des données ouvertes à l’instar des “Principes pour des données publiques ouvertes” rédigés par quelques acteurs des biens communs états-uniens."
Voilà un élément de transparence simple à mettre en place localement, puisqu'il consiste, a minima à publier quelques .pdf sur un site et à ajouter un logo aux documents publiés. En tout cas, ce pourrait être là l'occasion d'une transparence sur laquelle on voudrait mieux entendre les candidats affirmer leurs valeurs, afin qu'il n'y ait plus plusieurs types d'informations publiques comme c'est le cas actuellement : celles pour ceux qui sont bien renseignés et l'information pour les autres.
Rendre accessible les données publiques n'a pas que des inconvénients, au contraire, comme le souligne encore Michel Briand :
]]>"La société a beaucoup à gagner à mettre en biens communs des données publiques, qu'elles soient d'intérêt général (comme les recensements, les données cartographiques et les études thématiques) ou plus locales sur le vivre ensemble et la connaissance partagée d'un territoire.
si les données de l'IGN étaient réutilisables on n'aurait pas la contrainte de se tourner vers les "google map" ; donner à voir les études commanditées favorise le débat public et est un facteur de démocratie ; en permettant la réutilisation de ces études, on ne favorise plus le financement de simples couper-coller mais la création de réelles valeurs ajoutées par les consultants. donner à voir les réponses apportées à une enquête, un questionnaire augmente la qualité des déclarations soumises à un regard critique public ; rendre accessible un projet d'école, de centre social favorise les synergies locales entre acteurs du quartier ; publier les projets soutenus par une collectivité rend visible les « bonnes » pratiques et en favorise le partage d’expérience ; permettre la réutilisation des photos et documents d'archive ouvre de multiples créations dans l'éducation, la mise en valeur des territoires ;..."
Voici une synthèse réalisée par un groupe de travail composé de commerçants Romanais : Baietto Martine (le Dépôt), Le Roy Aurélie (Marques Avenue), Labaune Michèle (Roux Diffusion), Huriez Thomas (Comptoir A part), Manoukian Serge (Serge Manoukian), Vinson Christian (la Charrette).
A partir d'un constat partagé, nous avons souhaité faire des propositions pour développer l'offre commerçante de l'agglomération et transformer plus de visiteurs de Marques Avenue en visiteurs de la ville (Bourg-de-Péage inclu) afin qu'ils découvrent l'offre globale commerciale et culturelle locale.
Nos besoins étant parfaitement complémentaires, nous souhaitons profiter de ce contexte local privilégié :
Après une première rencontre la soixantaine de propositions recensées a fait l'objet d'une sélection. Chacun a exprimé ses priorités, voici les 10 propositions ayant retenu le plus de suffrages :
Il ne s'agit bien sûr pas de propositions exhaustives, mais d'une simple contribution que nous souhaitons constructive. Nous invitons donc l'ensemble des commerçants/parties prenantes à enrichir ces pistes de réflexion, pour ensuite les concrétiser.
Nous devons aussi avoir conscience qu'en l'absence de représentation globale des commerçants (la Cité du commerce s'est dissoute en 2007), nous devons nous structurer pour offrir aux pouvoirs publics un interlocuteur identifié et légitime.
En cette période électorale, nous informons aussi convier les rédactions du Dauphiné Libéré et de l'Impartial à consulter cette contribution, ainsi que les 3 candidats déclarés aux élections municipales romanaises que sont Monsieur Bertholet, Monsieur Perret et Madame Thoraval.
Thomas HURIEZ pour le groupe de travail
]]>Regroupées autour d'une fédération internationale (http://www.hihostels.com), il existe 160 Auberges de Jeunesse en France (http://www.fuaj.org/fra). J'ai appris qu'à l'origine, les auberges de jeunesse avait pour but à l'origine de faciliter les rencontres entre jeunes de toutes nationalités. Peu à peu, les auberges se sont ouvertes à tous les âges mais gardent toujours un esprit de convivialité et de loyer modéré. Du coup elle sont aujourd'hui principalement fréquentées par : des étudiants en alternance, des voyageurs, des clubs sportifs (en déplacement), des assoc's d'échange/culturelles/de cycliste/de rando, etc....), et des personnes à faible revenu.
A la lecture de la carte des Auberges de Jeunesse en France, il y a un vide dans la vallée du Rhône. D'après le directeur rencontré, c'est d'autant plus surprenant qu'il y a une concentration d'hotels Formule 1... dont la clientèle principale est très proche de celle des Auberges de jeunesse.
Voici donc 2 cartes des auberges de jeunesse en France : http://www.hihostels.com/dba/cmap-FR.fr.htm ou http://www.fuaj.org/fra/auberges/carte.php
et une carte des hotels Formule 1 en France : http://www.hotelformule1.com/formule1/fr/cartographie/france_se.shtml
On note que si sur la côte et dans les alpes, le maillage est relativement proche, par contre ce n'est pas du tout le cas en vallée du Rhône !!
Il peut donc être intéressant d'en profiter d'autant qu'il n'en existe pas à Valence. Pour les clubs de sport qui viennent jouer dans les environs ou les étudiants en alternances qui étudient ou travaillent à 20/30km de Romans, ça pourrait peut-être être une structure pertinente (d'autant que je crois me souvenir avoir entendu que les structures hôtelières manquaient) !!
C'est une idée en l'air... beaucoup d'entre vous connaissent bien mieux Romans que moi.
Pour les détails pratiques, une auberge de jeunesse est une association. Elle est dans des locaux qu'elle loue ou qu'on lui prête, et dispose de chambres entre 4 et 8 lits en gros (quelques chambres pour 2 personnes parfois). Les sanitaires peuvent être communs ou individuels (c'est souvent le cas pour les douches apparemment). Une auberge de jeunesse est autonome financièrement et est gérée par un directeur puis interviennent des gens pour le ménage, les réparations etc. Pour la cuisine, une cuisine ouverte à tous ou des repas peuvent être proposer (ça dépend des auberges de jeunesse). Voilà pour les premiers détails pratiques qu'il m'a expliqué.
Voilà pour une petite contribution... en l'espérant constructive ;-)
Thomas
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